Hippolyte Ducos
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Hippolyte Ducos | |
Hippolyte Ducos en 1932. | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (11 ans, 11 mois et 5 jours) | |
Élection | 30 novembre 1958 |
Réélection | 25 novembre 1962 12 mars 1967 30 juin 1968 |
Circonscription | 6e de la Haute-Garonne |
Législature | Ire, IIe, IIIe et IVe (Cinquième République) |
Groupe politique | NI (1958-1959) ED (1959-1962) RD (1962-1967) FGDS (1967-1970) |
Prédécesseur | Circonscription créée |
Successeur | François Gabas |
– (7 ans et 5 mois) | |
Élection | 17 juin 1951 |
Réélection | 2 janvier 1956 |
Circonscription | Haute-Garonne |
Législature | IIe et IIIe (Quatrième République) |
Groupe politique | RRRS |
– (20 ans, 6 mois et 21 jours) | |
Élection | 16 novembre 1919 |
Réélection | 25 mai 1924 29 avril 1928 8 mai 1932 3 mai 1936 |
Circonscription | Haute-Garonne |
Législature | XIIe, XIIIe, XIVe, XVe et XVIe (Troisième République) |
Groupe politique | RRRS |
Sous-secrétaire d'État à la Guerre et à la Défense nationale | |
– (1 an, 7 mois et 27 jours) | |
Président | Albert Lebrun |
Président du Conseil | Edouard Daladier Paul Reynaud |
Gouvernement | Daladier III Daladier IV Daladier V Reynaud |
Prédécesseur | Guy La Chambre |
Successeur | Charles De Gaulle |
Ministre des Pensions | |
– (3 mois et 14 jours) | |
Président | Albert Lebrun |
Président du Conseil | Albert Sarraut Camille Chautemps Edouard Daladier |
Gouvernement | Sarraut I Chautemps II Daladier II |
Prédécesseur | Edmond Miellet |
Successeur | Georges Rivollet |
Sous-secrétaire de l'éducation nationale chargé de l'Enseignement Technique | |
– (1 an, 4 mois et 23 jours) | |
Président | Albert Lebrun |
Président du Conseil | Edouard Herriot Joseph Paul-Boncour Edouard Daladier |
Gouvernement | Herriot III Paul-Boncour Daladier I |
Prédécesseur | Emile Morinaud Philippe Marcombes |
Successeur | Philippe Marcombes |
Maire de Lilhac | |
– (23 ans) | |
Conseiller général de la Haute-Garonne | |
– | |
Circonscription | Canton de L'Isle-en-Dodon |
Prédécesseur | Antonin Ruffat |
Successeur | Antonin Ruffat |
– (21 ans) | |
Circonscription | Canton de Barbazan |
Prédécesseur | Camille Uchan |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-André (France) |
Date de décès | (à 89 ans) |
Lieu de décès | Toulouse (France) |
Nationalité | française |
Résidence | Haute-Garonne |
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Hippolyte Ducos est un homme politique français, né le à Saint-André (Haute-Garonne) et mort le à Toulouse.
Biographie
Fils d'un cultivateur, c'est grâce à une bourse d'études qu'Hippolyte Ducos suit les cours du collège de Revel, où il fait la rencontre de Vincent Auriol. Brillant élève, il obtient une bourse encore pour s'inscrire en faculté, à Montpellier, et devient agrégé de Lettres.
Il enseigne alors en lycée, dans différentes villes du Sud-Ouest (Carcassonne, Montauban, Foix, Albi, puis Toulouse).
Il est mobilisé dans l'infanterie pendant la première guerre mondiale et, entré caporal, il en ressort avec les galons de lieutenant. En 1916, il est décoré de la Légion d'honneur à titre militaire, ainsi que de la Croix de Guerre avec cinq citations. Il publie, avec le capitaine Marcel Clavel, un ouvrage relatant les faits d'armes du 81e régime d'infanterie.
Rendu à la vie civile, il s'engage en politique, du côté du parti radical. Il est élu conseiller général de Haute-Garonne, dans le canton de Barbazan, mandat qu'il conserve jusqu'à la guerre, puis, en novembre 1919, député sur la liste menée par Joseph Gheusi.
Membre de la commission de l'enseignement, il inaugure une longue carrière parlementaire (39 ans de mandat sous trois républiques différentes) largement consacrée à la question scolaire. Dès 1921, il présente une proposition de loi visant à réorganiser l'enseignement postscolaire.
Défenseur des humanités classiques, il soutient néanmoins le maintien d'une filière moderne dans l'enseignement secondaire. Il défend aussi l'éducation physique, qu'il souhaite obligatoire. Il est partisan de l'école unique, et d'une démocratisation de l'accès au supérieur. Il synthétisera ses positions en 1932 dans un ouvrage, préfacé par Edouard Herriot, intitulé « Pourquoi l'école unique ? ».
Il est aussi rapporteur de plusieurs projets de loi relatifs à l'enseignement : nationalisation des fonctions de contremaîtres et des maîtresses d'atelier des écoles pratiques d'industrie (1920), création d'écoles pratiques de commerce et d'industrie ou d'écoles de métiers (1921). Il intervient cependant aussi sur d'autres questions.
Tête de la liste présentée en Haute-Garonne par le parti radical et le Parti socialiste français (issu d'une scission du parti républicain socialiste) en 1924, il obtient 27,8 % des voix et est réélu.
Devenu vice-président de la commission des finances de la Chambre, et vice-président du Parti radical en 1926, il déploie une activité parlementaire intense, toujours sur les questions scolaires, mais en élargissant ses domaines d'intervention.
Il se consacre aussi beaucoup à sa fonction de rapporteur du budget de l'instruction publique, qu'il occupe de 1924 à 1932. Il produit, dans ce cadre, des rapports très détaillés sur l'état du système éducatif. Il est un des principaux soutiens à la politique de gratuité de l'enseignement secondaire qui se met en place sous cette législature.
En 1928, il est réélu député, battant dans la circonscription de Saint-Gaudens un autre sortant, le socialiste Lucien Labatut, au deuxième tour, avec 53,6 % des voix. Puis, en 1932, il affronte sans difficulté au second tour un candidat communiste, et est réélu avec 89,6 % des voix.
Il entre alors au gouvernement, avec le poste de sous-secrétaire d'État à l'Éducation nationale, chargé de l'enseignement technique, fonction qu'il exerce dans les gouvernements Edouard Herriot (3), Paul-Boncour et Daladier, jusqu'en octobre 1933, où il devient ministre des pensions dans le gouvernement Sarraut. Il conserve ce maroquin dans les gouvernements Chautemps et Daladier.
Sa carrière ministérielle s'interrompt après la chute du gouvernement Daladier, à la suite des émeutes du 6 février 1934. Quelques semaines avant les élections de 1936, il devient vice-président de la Chambre.
Il prend alors ses distances avec la stratégie du Front populaire dans laquelle s'inscrit le parti radical. Il est réélu député de justesse, avec 50,8 % des voix, contre le socialiste Labatut, candidat du Front populaire.
Ducos reste cependant membre du groupe radical à la Chambre, où il est élu président de la commission de l'enseignement et des beaux-arts. Il est aussi rapporteur de la loi créant, en 1936, l'office national professionnel du Blé.
Lors de l'exposition universelle de 1937, il assure la présidence du pavillon de l'enseignement.
Incarnant désormais l'aile droite du parti radical, il entre au gouvernement Daladier, en septembre 1938, comme sous-secrétaire d'État à la Défense nationale, fonction qu'il conserve jusqu'à la chute du gouvernement Reynaud, en mai 1940.
Bien qu'ayant voté les pleins-pouvoirs à Pétain, il s'engage rapidement dans la Résistance, au sein du mouvement Combat, puis du M.U.R.. Il est brièvement arrêté par les Allemands, avant de réussir à s'évader, au péril de sa vie.
Son engagement dans la lutte contre l'occupant lui permet d'être relevé de l'inéligibilité qui frappe les parlementaires qui avaient voté en faveur de Pétain en 1940.
Il mène donc la liste radicale en Haute-Garonne pour l'élection de la première constituante, en octobre 1945, mais n'obtient que 7,5 % des voix, ce qui est insuffisant pour être élu. Il est ensuite, en décembre 1946, puis en novembre 1948, candidat à l'élection du Conseil de la République, mais en vain.
Il publie, en 1946, un ouvrage intitulé « Le Service de santé militaire en France, 13 septembre 1939-10 mai 1940 », chez un éditeur toulousain.
Il se consacre alors à ses mandats locaux : il est élu maire de Lihac en 1947, puis retrouve le conseil général, étant élu dans le canton de l'Isle-en-Dodon, cette fois, deux ans plus tard.
En 1951, il est de nouveau candidat à la députation, en deuxième position sur la liste du Rassemblement des gauches républicaines (Radicaux et UDSR) menée par Maurice Bourgès-Maunoury, il retrouve le Palais-Bourbon.
En juillet 1953, il intervient sur la réforme de l'enseignement. Il se fait alors le défenseur de la culture secondaire classique, s'opposant aux méthodes pédagogiques nouvelles, influencées par les États-Unis, et demande qu'on renonce à la création d'une agrégation de lettres modernes (sans latin).
En 1956, il est réélu député, toujours en deuxième position sur la liste menée par Bourgès-Maunoury.
Il est élu vice-président de la commission de l'éducation nationale. En 1956 il dépose une proposition de loi visant à porter l'obligation scolaire jusqu'à 16 ans. L'année suivante, il prône la mise en place d'une allocation-salaire pour les étudiants.
Au contraire de la majorité des radicaux de Haute-Garonne, et de Bourgès-Maunoury en particulier, Ducos apporte un soutien plein et entier au retour de Charles de Gaulle au pouvoir en 1958.
Il est facilement réélu député en novembre, à l'occasion d'une quadrangulaire où il obtient 50,4 % des voix.
Il entre alors en dissidence avec le parti radical, créant une fédération autonome, qu'il qualifie « d'orthodoxe » en Haute-Garonne. Siégeant d'abord parmi les non-inscrits à l'assemblée, il rejoint ensuite, en juillet 1959, le groupe de l'Entente démocratique, où il retrouve les radicaux.
Intervenant toujours principalement sur les questions scolaires, il prend dans le même temps de plus en plus de distances avec le pouvoir. Ayant voté l'investiture du gouvernement Debré, il en vient, en 1962, à voter la motion de censure contre le gouvernement Pompidou, dont l'adoption provoque la dissolution de l'assemblée nationale.
Il est encore réélu, au second tour, avec cependant plus de difficultés. Il obtient 47,6 % des voix contre 46 % au candidat socialiste, le reste allant au MRP. Il s'inscrit alors au groupe du Rassemblement démocratique, qui succède à l'entente. Pendant cette législature, il se situe clairement dans l'opposition, votant régulièrement contre les projets gouvernementaux.
Il continue d'intervenir sur les questions scolaires, lors de chaque débat en rapport avec ces questions.
En 1967, il se représente avec l'investiture de la FGDS, mais fait de nouveau face au socialiste Jean Lassère. C'est grâce à un bon report des voix de droite qu'il est réélu, avec 52,5 %, au second tour.
À 85 ans, il est à la fois le doyen de l'assemblée et le plus ancien député en exercice. Il lui revient de prononcer le discours d'ouverture, où il prône l'humanisme.
L'année suivante, après la dissolution de l'assemblée, Ducos bénéficie du soutien de toute la FGDS, et n'a donc pas de candidat socialiste contre lui. Il est facilement réélu avec 55,5 % des voix. Il est de nouveau le doyen de l'assemblée.
Sa dernière intervention dans l'hémicycle est consacrée encore à l'enseignement. En décembre 1969, il interpelle le ministre de l'éducation nationale, Olivier Guichard, pour protester contre le report de l'enseignement du latin à la classe de quatrième. Frappé d'un malaise dès la fin de son intervention, il est évacué par les huissiers et hospitalisé.
Sans démissionner, il se retire à Lihac et meurt en novembre 1970, à 89 ans.
Carrière politique
- Conseiller général de la Haute-Garonne, dans le canton de Barbazan (1919-1940), puis celui de L'Isle-en-Dodon (1949-1970)
- Maire de Lilhac (1947-1970)
- Député radical de la Haute-Garonne de 1919 à 1940 et de 1951 à 1970
- Sous-secrétaire d'État à l'Enseignement Technique du au dans les gouvernements Édouard Herriot (3) et Joseph Paul-Boncour;
- Sous-secrétaire d'État à l'Éducation nationale du au dans le gouvernement Édouard Daladier (1);
- Ministre des Pensions du au dans les gouvernements Albert Sarraut (1), Camille Chautemps (2) et Édouard Daladier (2);
- Sous-secrétaire d'État à la Défense nationale et à la Guerre du au dans les gouvernements Édouard Daladier (3) et Paul Reynaud.
En tant que doyen des députés, il prononce le discours d'ouverture de la IVe législature de la Ve République à l'Assemblée nationale, le [1].
À sa mort, son suppléant, François Gabas le remplace à l'Assemblée nationale.
Distinctions
- Commandeur de la Légion d'honneur
- Croix de guerre 1914-1918 (5 citations)
- Commandeur de l'Ordre du Mérite (Hongrie)
- Commandeur de l'Ordre du Mérite maritime de la République espagnole
- Commandeur de la Distinction d'honneur de la République autrichienne
Ouvrages
- Souviens-toi !...
- Paroles en province
- Le Parti radical et les anciens combattants, Campagne électorale 1936
- Le service de santé militaire en France, -
- Marxisme ou liberté ?
- Pour la défense du Latin
- Pourquoi l'école unique ?
Notes et références
- ↑ http://www.assemblee-nationale.fr/13/evenements/daniele-breem-2009.asp Vidéo « Discours de politique générale, au début de la IVe législature (17 juillet 1968) » sur le site Internet de l'Assemblée nationale.
Bibliographie
- « Hippolyte Ducos », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
- Maurice Andrieu, 1890-1990 - Cent ans de socialisme à Toulouse, Toulouse, 1992.
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique :
- Base Sycomore
- Notices d'autorité :
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- IdRef
- WorldCat
v · m Gouvernement Paul Reynaud (22 mars 1940 - 16 juin 1940) | |||||
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Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Ministre d'État, vice-président du Conseil | Paul Reynaud Président du Conseil | ||||
Ministre d'État |
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Défense nationale et Guerre | Édouard Daladier | ||||
Affaires étrangères | |||||
Intérieur | |||||
Armements | Raoul Dautry | ||||
Finances |
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Travail | Charles Pomaret | ||||
Justice | Albert Sérol | ||||
Marine | César Campinchi | ||||
Marine marchande | Alphonse Rio | ||||
Air | Laurent Eynac | ||||
Éducation nationale | |||||
Anciens combattants et Pensions | Albert Rivière | ||||
Agriculture | Paul Thellier | ||||
Ravitaillement | Henri Queuille | ||||
Colonies | |||||
Travaux publics | |||||
Santé publique | |||||
Postes, Télégraphe, Téléphone et Transmissions | Alfred Jules-Julien | ||||
Information | |||||
Commerce et Industrie | |||||
Blocus | Georges Monnet | ||||
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(← DALADIER V) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PÉTAIN →) |
v · m Gouvernement Édouard Daladier II (30 janvier 1934 - 7 février 1934) | |||||
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Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre et Défense nationale | Édouard Daladier Président du Conseil | ||||
Affaires étrangères | Édouard Daladier | ||||
Éducation nationale | Aimé Berthod | ||||
Intérieur | Eugène Frot | ||||
Justice | Eugène Penancier | ||||
Agriculture | Henri Queuille | ||||
Finances | |||||
Travaux publics | Joseph Paganon | ||||
Outre-mer | Henry de Jouvenel | ||||
Travail et Prévoyance sociale | Jean Valadier | ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Paul Bernier | ||||
Santé publique | Émile Lisbonne | ||||
Marine militaire | Louis de Chappedelaine | ||||
Pensions | Hippolyte Ducos | ||||
Air | Pierre Cot | ||||
Marine marchande | Guy La Chambre | ||||
Commerce et Industrie | Jean Mistler | ||||
Budget | Paul Marchandeau | ||||
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(← CHAUTEMPS II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DOUMERGUES II →) |
v · m Gouvernement Camille Chautemps II (26 novembre 1933 - 27 janvier 1934) | |||||
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Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre | Édouard Daladier | Camille Chautemps Président du Conseil | |||
Affaires étrangères | Joseph Paul-Boncour | ||||
Éducation nationale | Anatole de Monzie | ||||
Intérieur | Camille Chautemps | ||||
Justice | Eugène Raynaldy | ||||
Agriculture | Henri Queuille | ||||
Finances | Georges Bonnet | ||||
Travaux publics | Albert Dalimier | ||||
Colonies |
| ||||
Travail et Prévoyance sociale |
| ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Jean Mistler | ||||
Santé publique | Alexandre Israël | ||||
Marine | Albert Sarraut | ||||
Pensions | Hippolyte Ducos | ||||
Air | Pierre Cot | ||||
Marine marchande | |||||
Commerce et Industrie | Laurent Eynac | ||||
Budget | Paul Marchandeau | ||||
| |||||
(← SARRAUT I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER II →) |
v · m Gouvernement Albert Sarraut I (26 octobre 1933 - 24 novembre 1933) | |||||
---|---|---|---|---|---|
Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre | Édouard Daladier | Albert Sarraut Président du Conseil | |||
Affaires étrangères | Joseph Paul-Boncour | ||||
Éducation nationale | Anatole de Monzie | ||||
Intérieur | Camille Chautemps | ||||
Vice-président du Conseil et Justice | Albert Dalimier | ||||
Agriculture | Henri Queuille | ||||
Finances | Georges Bonnet | ||||
Travaux publics | Joseph Paganon | ||||
Colonies | François Piétri | ||||
Travail et Prévoyance sociale | Eugène Frot | ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Jean Mistler | ||||
Santé publique | Émile Lisbonne | ||||
Marine | Albert Sarraut | ||||
Pensions | Hippolyte Ducos | ||||
Air | Pierre Cot | ||||
Marine marchande | Jacques Stern | ||||
Commerce et Industrie | Laurent Eynac | ||||
Budget | Abel Gardey | ||||
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(← DALADIER I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHAUTEMPS II →) |
v · m Gouvernement Édouard Daladier I (31 janvier 1933 - 24 octobre 1933) | |||||
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Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre | Édouard Daladier | Édouard Daladier Président du Conseil | |||
Affaires étrangères | Joseph Paul-Boncour | ||||
Éducation nationale | Anatole de Monzie | ||||
Intérieur | Camille Chautemps | ||||
Justice | Eugène Penancier | ||||
Agriculture | Henri Queuille | ||||
Finances | Georges Bonnet | ||||
Travaux publics | Joseph Paganon | ||||
Colonies | |||||
Travail et Prévoyance sociale | François Albert | ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Laurent Eynac | ||||
Santé publique | Charles Daniélou | ||||
Marine | |||||
Pensions | Edmond Miellet | ||||
Air | Pierre Cot | ||||
Marine marchande | Eugène Frot | ||||
Commerce et Industrie | Louis Serre | ||||
Budget | Lucien Lamoureux | ||||
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(← PAUL-BONCOUR) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SARRAUT I →) |
v · m Gouvernement Joseph Paul-Boncour (18 décembre 1932 - 28 janvier 1933) | |||||
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Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre | Édouard Daladier | Joseph Paul-Boncour Président du Conseil | |||
Affaires étrangères | Joseph Paul-Boncour | ||||
Éducation nationale | Anatole de Monzie | ||||
Intérieur | Camille Chautemps | ||||
Justice | Abel Gardey | ||||
Agriculture | Henri Queuille | ||||
Finances | Henry Chéron | ||||
Travaux publics | Georges Bonnet | ||||
Colonies | Albert Sarraut | ||||
Travail et Prévoyance sociale | Albert Dalimier | ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Laurent Eynac | ||||
Santé publique | Charles Daniélou | ||||
Marine | Georges Leygues | ||||
Pensions | Edmond Miellet | ||||
Air | Paul Painlevé | ||||
Marine marchande | Léon Meyer | ||||
Commerce et Industrie | Julien Durand | ||||
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(← HERRIOT III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER I →) |
v · m Gouvernement Édouard Herriot III (3 juin 1932 - 14 décembre 1932) | |||||
---|---|---|---|---|---|
Sous la présidence d’Albert Lebrun | |||||
Guerre | Joseph Paul-Boncour | Édouard Herriot Président du Conseil | |||
Affaires étrangères | Édouard Herriot | ||||
Éducation nationale | Anatole de Monzie | ||||
Intérieur | Camille Chautemps | ||||
Justice | René Renoult | ||||
Agriculture | Abel Gardey | ||||
Finances | Louis Germain-Martin | ||||
Travaux publics | Édouard Daladier | ||||
Colonies | Albert Sarraut | ||||
Travail et Prévoyance sociale | Albert Dalimier | ||||
Commerce | Julien Durand | ||||
Postes, Télégraphe et Téléphone | Henri Queuille | ||||
Santé publique | Justin Godart | ||||
Marine | Georges Leygues | ||||
Pensions | Aimé Berthod | ||||
Air | Paul Painlevé | ||||
Marine marchande | Léon Meyer | ||||
Budget | Maurice Palmade | ||||
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(← TARDIEU III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PAUL-BONCOUR →) |
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