Université Panthéon-Sorbonne

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Pour les articles homonymes, voir Panthéon (homonymie), Sorbonne (homonymie) et Université Panteion.

Université Paris-I-Panthéon-Sorbonne
Histoire
Fondation
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Dates-clés
1253-1257 : fondation du collège de Sorbonne
31 décembre 1970 : successeur de l'université de Paris
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Président
Christine Neau-Leduc (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Devise
« Omnibus sapientia, unicuique excellentia »
(« Le savoir pour tous, l'excellence pour chacun »)
Membre de
Site web
www.pantheonsorbonne.frVoir et modifier les données sur Wikidata
Chiffres-clés
Étudiants
45 200
Enseignants
1 450
Budget
223 millions d’euros ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Localisation
Localisation sur la carte de Paris
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L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (parfois notée la Sorbonne ou Panthéon-Sorbonne)[1], est un établissement multidisciplinaire d'enseignement supérieur français, spécialisé dans les domaines des sciences économiques et de la gestion, des arts et des sciences humaines, du droit et de la science politique[2].

Ses centres administratifs et ses principaux locaux d’enseignement sont situés à la Sorbonne et sur la place du Panthéon, au cœur du Quartier latin de Paris, dans l’ouest du cinquième arrondissement. Elle possède également plus d'une vingtaine d'antennes dans quatre autres arrondissements parisiens (quatrième, sixième, treizième et quinzième arrondissements) ainsi qu'en Égypte[3] et en Roumanie[4].

Étant l'une des héritières de l'ancienne université de Paris, l'université Paris 1 accueille aujourd'hui environ 45 200 étudiants répartis en dix unités de formation et de recherche (UFR) et quatre instituts. Elle offre des formations de la licence au doctorat et dans la préparation des concours, notamment juridiques et d'enseignement. Elle ne fait partie d'aucune COMUE, mais elle collabore avec l'université Sorbonne-Nouvelle et ESCP Business School au sein de Sorbonne Alliance. Elle est aussi membre fondateur du projet Una Europa depuis 2019[5].

Histoire

Origines de l'université

Article détaillé : Université de Paris (1896-1970).
Chapelle Sainte-Ursule de l'université de Paris en 1948.

En 1945, à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, l'université de Paris retrouvait les problèmes qui lui étaient propres et qui s'étaient aggravés avec la guerre et l'occupation étrangère. Les étudiants s'entassaient dans des salles et dans des amphithéâtres surpeuplés, et le corps enseignant, insuffisant en nombre, n'avait pas les moyens de les suivre et de les encadrer correctement[6].

La déconcentration des centres universitaires dans la capitale et à la périphérie sera principalement l'œuvre de la Ve République dans les premières années de son existence. Cette politique atteignit ses objectifs en répondant notamment aux problèmes posés par le nombre des étudiants. Le pouvoir crut également pouvoir contrôler l'accès de ces derniers à l'université, en organisant une sélection sévère à l'entrée des facultés et en créant des Instituts universitaires de technologie[7].

Cette réforme n’ayant pas été négociée avec tous les partenaires intéressés, elle fut rejetée par les étudiants dans un climat politique et social défavorable, et elle provoqua une véritable insurrection dans les facultés à Paris et en province.

La faculté des lettres de Nanterre - créée en 1964 au sein de l'université de Paris - étant devenue le théâtre d'une agitation permanente contre les projets de réforme, le recteur de l'académie, président du conseil de l'université de Paris, décidait sur proposition du doyen de cette faculté de fermer cette dernière le 2 mai 1968[8]. Le lendemain, trois à quatre cents étudiants se réunirent dans la cour de la Sorbonne pour dénoncer la fermeture de la faculté de Nanterre et demander au recteur d'annuler la décision administrative qui permettait de traduire plusieurs de leurs camarades devant le conseil de l'université de Paris. En fin de soirée, ce dernier fit appel à la police pour qu'ils évacuent la cour de la Sorbonne. Des échauffourées violentes opposèrent les étudiants aux forces de l'ordre dans la rue, suivies de nombreuses arrestations et des centaines de blessés dans les deux camps[8]. Cet incident majeur entraîna plusieurs semaines de troubles à Paris et une grève générale illimitée en France, qui faillirent emporter la Ve République.

Edgar Faure, ministre de l'Éducation nationale à l'origine de la loi du 12 novembre 1968, dite loi Faure.

Le général de Gaulle, président de la République, réussissant à rétablir l'ordre à la fin de mai, la nouvelle Assemblée nationale élue en juin, après la dissolution de la précédente, eut pour principale mission de réformer la législation universitaire de la IIIe République, en donnant une large autonomie de gestion aux établissements d'enseignement supérieur et en permettant ainsi d'établir plusieurs universités dans une même circonscription académique.

C'est ainsi qu'à Paris, où l'université était devenue très difficile à gérer par le nombre de ses professeurs et de ses étudiants, la législation nouvelle - loi du 12 novembre 1968, remplacée par la loi du 26 janvier 1984 - permit de créer dès 1969 treize universités au sein de l'ancienne université de Paris[6].

Création de l'université

Ancien logotype de l'université Panthéon-Sorbonne.

À l'instigation notamment des professeurs François Luchaire (droit public), Henri Bartoli (économie) et Hélène Ahrweiler (sciences humaines), l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est créée en 1971 du regroupement d'une partie de la faculté de droit et sciences économiques (Panthéon) et d'une partie de la faculté des lettres et sciences humaines (Sorbonne)[9]. Si la plus grande partie des économistes de la faculté de droit (35 sur 41) ont choisi Paris 1, la plupart des juristes (88 sur 108)[10], dont la plupart des privatistes et des historiens du droit et une partie importante des publicistes avaient choisi de perpétuer une université spécialisée - Paris 2 - alors que leurs collègues faisaient le pari d’une université pluridisciplinaire en ralliant l’université Paris 1[11].

Dans les négociations sur le partage des locaux historiques avec les autres universités proches, l'université Paris 1 peut utiliser des salles dans la partie sud de la Sorbonne, précédemment utilisée par la faculté des sciences[12]. De même, les universités Paris 1 et Paris 2 s'entendent pour installer toutes les deux leur présidence dans les locaux historiques de la faculté de droit place du Panthéon et se partager le site. Les nouveaux locaux de la rue d'Assas sont également partagés pendant les deux premières années en attendant l'ouverture du futur centre Pierre-Mendès-France, effective en 1973[12].

Développement

Depuis sa création, Paris 1 a vu ses effectifs d'étudiants augmenter de 50 % et la proportion d'étudiants de troisième cycle s'accroître constamment. Cette croissance, accompagnée de l'apparition de nouvelles disciplines (administration économique et sociale, mathématiques appliquées et sciences sociales), a nécessité l'attribution de nouveaux locaux qui ont augmenté la capacité d'accueil et la dispersion de l'université : centre Saint-Charles[13] pour les arts plastiques (1973), centre Tolbiac[12] (aujourd'hui centre Pierre-Mendès-France) (1973), centre de recherches historiques et juridiques de la rue Malher (1972), centre Port-Royal René-Cassin pour le premier cycle de droit (1990), Maison des sciences économiques[14] (1998) pour la recherche dans ces disciplines et centre Broca où s'installe l'Institut d'administration des entreprises en 2001, centre Port-Royal Lourcine (2019)[15].

Rapprochements institutionnels des années 2000

Bâtiment Recherche Sud du campus Condorcet.

À la suite de la mise en place en France de Pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) en 2006, l'université s'est successivement impliquée dans plusieurs projets d'association d'établissements d'enseignement supérieur, ainsi que dans un projet élaboré dans le cadre du Plan campus à partir de janvier 2008.

L'université commence à travailler autour du projet du PRES Paris Centre Universités à partir de janvier 2006 qui inclut d'autres universités parisiennes dont Paris V et Paris VII[16]. Le projet n'aboutit pas, ces deux dernières universités se rapprochant finalement du projet Sorbonne Paris Cité et l'université commence au début de l'année 2010 à se rapprocher d'autres établissements autour du projet Hautes Études-Sorbonne-Arts et Métiers[17]. L'établissement quitte cependant ce groupement le [18].

L'université travaille au même moment avec d'autres partenaires autour du projet du campus Condorcet dans le but d'ouvrir un nouveau campus au nord de Paris. Le projet est retenu en 2008 dans le cadre du plan campus[19].

Présidence de l'université

présidentVoir et modifier les données sur Wikidata
PortraitIdentitéPériodeDurée
DébutFin
Pas de portrait sous licence libre disponible pour François Luchaire.François Luchaire[20]
( - )
5 ans
Hélène AhrweilerHélène Ahrweiler[21]
(née en )
5 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Pierre Bauchet.Pierre Bauchet[22]
( - )
1 an
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Jacques Soppelsa.Jacques Soppelsa[23]
(né en )
7 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Georges Haddad.Georges Haddad[24]
(né en )
5 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Yves Jégouzo.Yves Jégouzo (d)[25]
(né en )
5 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Michel Kaplan.Michel Kaplan[26]
(né en )
5 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Pierre-Yves Hénin.Pierre-Yves Hénin[27]
(né en )
5 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Jean-Claude Colliard.Jean-Claude Colliard[28]
( - )
3 ans
Philippe Boutry en 2013.Philippe Boutry[29]
(né en )
4 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Georges Haddad.Georges Haddad[30]
(né en )
4 ans
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Christine Neau-Leduc.Christine Neau-Leduc (d)[31]
(née en )
En cours3 ans

Composantes

Départements

Il y a dix départements, formés en unités de formation et de recherche (UFR), à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, répartis en trois domaines d'études[32] :

  • Sciences économiques et de gestion :
  1. UFR02 - École d'économie de la Sorbonne (EES)
  2. UFR06 - École de management de la Sorbonne (EMS) (gestion et économie d'entreprise)
  3. UFR27 - UFR de mathématiques et informatique
  • Sciences humaines :
  1. UFR03 - École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne (EHAAS)
  2. UFR04 - École des arts de la Sorbonne (EAS) (arts plastiques et sciences de l'art)
  3. UFR08 - UFR de géographie (Institut de géographie)
  4. UFR09 - École d'histoire de la Sorbonne (EHS)
  5. UFR10 - UFR de philosophie
  • Sciences juridiques et politiques :
  1. UFR01 - École de droit de la Sorbonne (EDS)
  2. UFR11 - École de science politique de la Sorbonne. Elle constitue en France la seule institution universitaire exclusivement vouée à l'enseignement de cette discipline.

Instituts et établissements associés

Il y a également 10 instituts d'études et de recherches :

  1. Institut de démographie de l'université Paris 1 (IDUP)
  2. Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
  3. Institut des sciences sociales du travail (ISST)
  4. Institut de recherche et d'études supérieures du tourisme (IREST)
  5. Institut d'administration économique et sociale (IAES)
  6. Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
  7. Institut d'études judiciaires Jean-Domat (IEJ)
  8. Institut des assurances de Paris (IAP)
  9. Institut français de la communication (IFC)
  10. Institut des études sur la guerre et la paix (IEGP)

Enfin, il y a également un établissement public associé :

  1. Institut d'administration des entreprises de Paris (IAE Paris)

Maison des sciences économiques

La Maison des sciences économiques (MSE) abrite les équipes de recherche de Paris 1 travaillant dans le domaine de l'économie et des mathématiques appliquées depuis 1997[33]. L'ensemble de ces quelque 300 chercheurs, des neuf unités de recherche et d'une unité de services, la plupart affiliées au CNRS, la diversité des thèmes abordés et des méthodes utilisées, donnent à cette Maison un caractère unique en France. S'y déroulent également les enseignements de masters, destinés à environ 300 étudiants.

Localisation

Centre Panthéon, siège de l'université et de l'École de droit de la Sorbonne.
Centre Michelet, siège de l'École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne.
Institut de géographie, siège de l'UFR de géographie de l'université.
Pavillon de l'Indo-Chine du Jardin d'agronomie tropicale de Paris, où se situe l'Institut d'études du développement de la Sorbonne.

Le siège social et la présidence de l'université sont situés au 12, place du Panthéon, 75005 Paris[34]. Le Panthéon est le site principal de l'université. Il abrite une partie de l'École de droit de la Sorbonne.

Les autres sites sont appelés annexes dans les statuts[34] :

  • La Sorbonne (place de la Sorbonne, 5e arrondissement de Paris)
  • Centre Pierre-Mendès-France (souvent appelé « Tolbiac », à ne pas confondre avec les locaux officiellement appelés « centre Tolbiac ») (13e arrondissement de Paris)
  • Centre Tolbiac (17 rue de Tolbiac, 13e arrondissement de Paris)
  • Centre Saint-Charles (15e arrondissement de Paris), site de l'École des arts de la Sorbonne
  • Centre Michelet (Institut d'art et d'archéologie de Paris) (6e arrondissement de Paris)
  • Centre Institut de géographie de Paris (5e arrondissement de Paris)
  • Centre Institut océanographique de Paris (5e arrondissement de Paris)
  • Campus Condorcet, porte de la Chapelle et à Aubervilliers
  • Campus Port-Royal (13e arrondissement de Paris), site de l'École de droit de la Sorbonne, constitué du centre René-Cassin (17 rue Saint-Hippolyte) et du centre Lourcine (dans l'ancienne caserne Lourcine, 1 rue de la Glacière)[35]
  • Centre Broca (5e arrondissement de Paris), site de la formation continue
  • Centre Malher (rue Malher, 4e arrondissement de Paris)
  • Centre Bourg-la-Reine (Institut des sciences sociales du travail)
  • Centre René-Ginouvès (sur le campus l'université Paris-Nanterre), dédié à l'archéologie et à l'ethnologie[36]
  • Centre du Jardin tropical de Paris (bois de Vincennes, 12e arrondissement de Paris), dédié à l'Institut d'études du développement de la Sorbonne
  • Centre Vivienne (2 rue Vivienne, dans le 2e arrondissement)[37].
  • Le Centre Marin-Mersenne « Maison de la Philosophie » (située 13 rue du Four, dans le 6e arrondissement), dont tous les étages, sauf le 4e, consacré à aux étudiants en aménagement et urbanisme[38],[39] de l'UFR 8, sont des laboratoires de l'UFR 10 dédiés à la recherche :
    • L'Institut d'histoire des sciences et des techniques (IHPST)
    • Le Centre d’histoire des philosophies modernes de la Sorbonne (HIPHIMO)[40]
    • Le Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques (CETCOPRA)[41]
    • Le Groupe de Recherches Antiquité, Moyen-Âge, Transmission Arabe (GRAMATA)[42]
    • L'Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne (ISJPS)[43]
  • Centre Ulm (5e arrondissement de Paris)
  • Maison des sciences économiques (13e arrondissement de Paris)
  • Collège Sainte-Barbe (Institut de recherche juridique de la Sorbonne) (5e arrondissement de Paris).
Le centre Pierre-Mendes-France, où ont lieu certains cours de licences des étudiants en économie, philosophie, histoire et histoire de l'art.

Enseignement et recherche

Formation

L'université propose 22 licences[44], 418 master[45],[46], 10 doctorats[47] et 17 doubles licences. Il existe en outre 3 licences professionnelles[48], 71 diplômes universitaires[49], 5 magistères[50] et 84 masters 1[51]. L'université propose 90 parcours en apprentissage[52], 3 licences professionnelles[48], 71 diplômes universitaires[49] et 5 magistères[50]. Un Collège de droit a été ouvert en 2017[53].

Partenariats

L'université dispose de plus de 700[54] conventions d'échanges d'étudiants avec des établissements étrangers ainsi que des doubles cursus, particulièrement en droit :

Elle dispose de 215 accords Erasmus+ et 388 partenaires internationaux. 20 diplômes sont délocalisés[60].

Elle est la seule université française membre d'Una Europa[61].

Recherche

Les activités de recherche sont confiées aux dix écoles doctorales[62] :

  • l'école doctorale d'économie
  • l'école doctorale de management
  • l'école doctorale de droit de la Sorbonne
  • l'école doctorale de science politique
  • l'école doctorale de philosophie
  • l'école doctorale de géographie
  • l'école doctorale d'archéologie
  • l'école doctorale d'arts plastiques, esthétique & sciences de l'art
  • l'école doctorale d'histoire
  • l'école doctorale d'histoire de l'art

Les écoles doctorales sont composées de laboratoires de recherche[63] administrés par une unité mixte de recherche (UMR)[64].

Classements

QS World University Ranking[65]

En 2020, par discipline et matière :

  • Arts et Sciences Humaines : 32e (1er en France)
    • Archéologie : 16e (1er en France)
    • Histoire : 34e (1er en France)
    • Histoire classique et ancienne: 13e (2e en France)
    • Geographie : 33e (1er en France)
    • Philosophie : 28e (2e en France)
    • Art et design : 101e-150e (4e en France)
    • Architecture : 151e-200e (1er en France)
    • Langues Modernes : 51e-100e (3e en France)
  • Sciences sociales et management : 54e (3e en France)
    • Droit : 20e (1er en France)
    • Études de développement : 28e (1er en France)
    • Économie et économétrie : 51e-100e (3e en France)
    • Anthropologie : 51e-100e (2e en France)
    • Sciences politiques : 51e-100e (2e en France)
    • Comptabilité et finance : 101e-150e (6e en France)
    • Business et management : 101e-150e (8e en France)

Times Higher Éducation[66]

En 2016, le Times Higher Education classait l'université au 91e-100e rang mondial et au troisième rang français[67].

Classement Le Point - Le Figaro

En 2016, Le Figaro la classait au 10e rang national en se fondant sur le taux d'insertion professionnel et le salaire[68].

Vie étudiante

Vie associative

L'université abrite une centaine d'associations, thématiques ou liée à des diplômes[69].

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

Évolution démographique (ligne 1)
1988 1989 1990 1991 1992 2000 2001 2002
29 909[70]30 708[70]31 750[70]32 410[70]33 037[70]35 950[71]36 222[72]37 452[73]
Évolution démographique (ligne 2)
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
38 473[74]39 552[75]38 310[76]37 057[77]35 632[77]34 868[77]35 543[77]35 391[77]
Évolution démographique (ligne 3)
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
36 809[77]38 115[77]37 941[77]38 924[77]38 308[77]39 035[77]40 176[77]42 049[77]
Évolution démographique (ligne 4)
2019 2020 2021 2022 - - - -
42 066[77]43 440[77]43 884[77]42 700[77]----

Patrimoine

L'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, comptant parmi les principales héritières de l'université de Paris, fut dotée à sa création, en 1971, d'un riche patrimoine culturel, composé de diverses collections et d'un parc immobilier remarquable.

Patrimoine immobilier

Située historiquement au cœur du 5e arrondissement de Paris, l'université Panthéon-Sorbonne jouit d'un riche patrimoine architectural, tel la Sorbonne d'Henri-Paul Nénot, propriété de la ville de Paris, porteuse d'une riche histoire et décorée de nombreuses fresques réalisées au XIXe siècle par des artistes tels que Léon-François Comerre ou Marcel Baschet. L'université bénéficie également des locaux de l'ancienne faculté de droit de l'université de Paris, conçue par Jacques-Germain Soufflot, dont la cour d'honneur et les façades du bâtiment originel furent inscrites au titre des monuments historiques en 1926[78]. Certains autres bâtiments occupés par l'université sont également classés au titre des monuments historiques, tels que l'Institut d'art et d'archéologie, conçu par Paul Bigot et classé depuis 1996[79], ou le collège Sainte-Barbe de l'architecte Louis-Ernest Lheureux classé en 1999[80]. Dispersée dans Paris, l'université compte de nombreux bâtiments remarquables et continue son expansion.

  • Amphithéâtre Richelieu, centre Sorbonne
    Amphithéâtre Richelieu, centre Sorbonne.
  • Salle Jacqueline de Romilly de la Bibliothèque de la Sorbonne
    Salle Jacqueline-de-Romilly de la Bibliothèque de la Sorbonne.
  • Peinture de Marcel Baschet dans la Bibliothèque de la Sorbonne
    Peinture de Marcel Baschet dans la Bibliothèque de la Sorbonne.
  • Fresque de Georges-Antoine Rochegrosse dans l'escalier d'honneur de la Bibliothèque de la Sorbonne
    Fresque de Georges-Antoine Rochegrosse dans l'escalier d'honneur de la Bibliothèque de la Sorbonne.
  • Grand hall de la Sorbonne
    Grand hall de la Sorbonne.
  • Cadran solaire de la cour d'honneur de la Sorbonne
    Cadran solaire de la cour d'honneur de la Sorbonne.
  • Tour de l'observatoire de la Sorbonne
    Tour de l'observatoire de la Sorbonne.
  • Galerie Soufflot du Centre Panthéon
    Galerie Soufflot du Centre Panthéon.
  • Galerie Colbert, en partie occupé par le départements d’histoire de l’art de l'université
    Galerie Colbert, en partie occupée par le département d’histoire de l’art de l'université.
  • Façade du Collège Sainte Barbe hébergeant l'Institut de Recherche Juridique de la Sorbonne
    Façade du collège Sainte-Barbe, hébergeant l'Institut de recherche juridique de la Sorbonne.
  • Institut des sciences sociales du travail
    Institut des sciences sociales du travail, situé à Bourg-la-Reine.
  • Détail mural de l'Institut d'art et d'archéologie
    Détail mural de l'Institut d'art et d'archéologie

Collections

L'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, héritière des collections scientifiques et pédagogiques constituées à partir du XIXe siècle au sein de l'université de Paris, compte un riche patrimoine divers et ancien d'œuvres antiques, de peintures, de photographies et de moulages[81]. L'université a également enrichie ses collections, depuis sa fondation, en se dotant notamment d'œuvres contemporaines et en constituant une cinémathèque comptant aujourd'hui plus de 7000 titres[82].

Plan de Rome de Paul Bigot abrité par l'École d’histoire de l’art et d'archéologie de la Sorbonne.

Personnalités liées à l'université

Enseignants

Voir la catégorie : Enseignant à l'université Paris I Panthéon Sorbonne.

Enseignants en droit et en science politique

  • François Luchaire : ancien rédacteur de la Constitution du 4 octobre 1958, ancien membre du Conseil constitutionnel, résistant.
  • Robert Badinter : professeur de droit (1974-1994), puis nommé professeur émérite. Sénateur (1995-2011), président du Conseil constitutionnel (1986-1995) et Garde des sceaux, ministre de la Justice (1981-1986), écrivain.
  • Mireille Delmas-Marty : professeur de droit pénal, professeur au Collège de France.
  • Jean-Claude Colliard : ancien membre du Conseil constitutionnel.
  • Jean-Pierre Cot : professeur émérite de droit public, ministre délégué chargé de la coopération et du développement (1981–1982), président du groupe socialiste au Parlement européen (1989–1994) ; vice-président du Parlement européen (1997–1999). Depuis 2002, juge au Tribunal international du droit de la mer.
  • Dominique Rousseau : professeur de droit constitutionnel et ancien membre du conseil supérieur de la magistrature entre 2002 et 2006.
  • Bertrand Mathieu : professeur de droit public, conseiller d’État en service extraordinaire, ancien membre du comité « Balladur ».
  • Jean Gicquel : professeur de droit public (droit constitutionnel), ancien membre du Conseil supérieur de la magistrature.
  • Marie-Anne Cohendet : professeure de droit public, enseigne le droit constitutionnel et le droit de l'environnement.
  • Anne Levade : professeur de droit public, ancien membre du comité « Balladur », membre du collège de la HATVP.
  • Michèle Alliot-Marie : maître de conférences en droit public, ancienne directrice de l'UFR de science politique, ancienne ministre (Défense, Intérieur, Justice et Affaires étrangères) et ancienne députée UMP à l'Assemblée nationale.
  • Jeannette Bougrab : maître de conférences en droit public, ancienne secrétaire d’État à la Jeunesse.
  • Louis Gautier (haut fonctionnaire) : enseigne la politique de défense de la France en science politique.
  • Gilles Dorronsoro : professeur en science politique, enseigne la sociologie des guerres civiles.

Enseignants en économie et gestion

Enseignants en sciences humaines et sociales

Étudiants

Voir la catégorie : Étudiant de l'université Paris I Panthéon Sorbonne.

Hommes et femmes d'affaires et chefs d'entreprise

Médias

Personnalités politiques françaises

Personnalités politiques étrangères

Artistes, écrivains, autres

Domaine académique et relations internationales

Docteurs honoris causa

Depuis sa création, l'université Panthéon-Sorbonne décerne le titre de docteur honoris causa à des personnalités en reconnaissance de leur rôle et de leur engagement dans la promotion des valeurs et des principes inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l'homme.

Médaille Richelieu

En mémoire du cardinal de Richelieu, qui étudia à la Sorbonne et œuvra de manière remarquable à son développement, l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne a créé la médaille Richelieu, une décoration décernée depuis 2010 à des personnalités « qui par leur position, leurs déclarations ou leurs actes, contribuent activement au respect et à la défense des valeurs de l'université, tout en favorisant la diffusion d'un savoir universitaire d'excellence »[86]

Notes et références

  1. « Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur pantheonsorbonne.fr (consulté le )
  2. L'université en chiffres, Université Paris 1 (lire en ligne [PDF])
  3. « Institut de Droit des Affaires Internationales »
  4. « Collège juridique franco-roumain d’études européennes »
  5. « UNA Europa », sur una-europa.eu (consulté le )
  6. a et b « Sorbonne au 20ème siècle - Histoire, création des 13 Universités de Paris », sur La Chancellerie des Universités de Paris (consulté le )
  7. Un collectif d'universitaires, « IUT, chronique d'une destruction annoncée », sur Libération (consulté le )
  8. a et b Rachel Mazuy et Daniel Le Cornu, « Chronologie des événements à Nanterre en 1967-1968 », Matériaux pour l'histoire de notre temps, vol. 11, no 1,‎ , p. 133-135 (lire en ligne, consulté le )
  9. « Histoire de l'université », sur pantheonsorbonne.fr (consulté le )
  10. « Les programmes de I à VII », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Gérard Conac, « La fondation de l'université Paris-I : François Luchaire, pilote d'une transition institutionnelle » dans Jeannette Bougrab et Didier Maus (dir), François Luchaire, un républicain au service de la République, Publications de la Sorbonne, 2005, p. 178.
  12. a b et c Gérard Conac, « 1968 : la Faculté de droit de Paris dans la tourmente » dans Pascal Gonot, Anne Rousselet-Pimont et Loïc Cadiet (dir.), L’École de droit de la Sorbonne dans la Cité, Paris, IRJS éditions, 2012 (ISBN 978-2-919211-11-1), p. 79-85.
  13. « Présentation du centre St Charles », sur arts.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
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Voir aussi

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

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