Sami al-Arian

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Sami al-Arian
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (66 ans)
KoweïtVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
américaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Militant, ingénieur, professeurVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Laila Al-Arian (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour

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Sami al-Arian, né le , est un militant politique palestinien, qui a notamment organisé le soutien du Jihad islamique palestinien au sein d'universités aux États-Unis. Après avoir fait de la prison, il est renvoyé dans son pays au Koweït sur décision d'un tribunal américain.

Biographie

Né au Koweït le dans une famille palestinienne, Sami al-Arian déménage avec sa famille en 1966 en Égypte et aux États-Unis en 1975.

Il obtient un baccalauréat en génie électrique avec mention en 1978 et un doctorat en ingénierie en 1985. À partir de 1986, Sami Al-Arian est conférencier et professeur au Département des sciences de l'ordinateur de l'université du Sud de la Floride à Tampa.

En 1977, à l'âge de 19 ans, Sami al-Arian créé la Ligue des jeunes musulmans arabes en Floride. Il aurait organisé le soutien du Jihad islamique palestinien (JIP) aux États-Unis. En 1981, il créé l'« Association islamique de Palestine » (IAP), devenue au fil des ans, le principal outil pour collecter de l’argent pour le Jihad islamique palestinien (JIP) aux États-Unis[réf. nécessaire] [non neutre].

À la fin des années 1980, Sami al-Arian contribue à fonder le WISE à l'Université de Tampa, qui devient une base dans la promotion de ses idées aux États-Unis. Grâce à Ramadan Shallah qui travaille lui aussi à l’université de Tampa, Sami al-Arian dirige la « Shura Council » en Floride, couverture de l'activité politique du Jihad islamique palestinien aux États-Unis[non neutre].

Sami al-Arian est suspendu de son poste de professeur en .

En , le FBI arrête Sami al-Arian et trois de ses associés. Le , Sami al-Arian est condamné à une peine de 18 mois de prison et à l'expulsion. Sami al-Arian est aussi condamné à 18 mois supplémentaires pour outrage au tribunal civil après avoir refusé de témoigner contre ses anciens collaborateurs. En , un tribunal ordonne sa libération et il rentre dans son pays au Koweït[réf. nécessaire].

Voir aussi

Liens externes

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