Nystatine
Nystatine | |
Identification | |
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No CAS | 1400-61-9 |
No ECHA | 100.014.317 |
No CE | 215-749-0 |
Code ATC | A07AA02 D01AA01 G01AA01 |
DrugBank | DB00646 |
PubChem | 16219709 |
SMILES | CC1C=CC=CCCC=CC=CC=CC=CC(CC2C(C(CC(O2)(CC(C(CCC(CC(CC(CC(=O)OC(C(C1O)C)C)O)O)O)O)O)O)O)C(=O)O)OC3C(C(C(C(O3)C)O)N)O PubChem, vue 3D |
InChI | InChI : vue 3D InChI=1/C47H75NO17/c1-27-17-15-13-11-9-7-5-6-8-10-12-14-16-18-34(64-46-44(58)41(48)43(57)30(4)63-46)24-38-40(45(59)60)37(54)26-47(61,65-38)25-36(53)35(52)20-19-31(49)21-32(50)22-33(51)23-39(55)62-29(3)28(2)42(27)56/h5-6,8,10-18,27-38,40-44,46,49-54,56-58,61H,7,9,19-26,48H2,1-4H3,(H,59,60)/b6-5+,10-8+,13-11+,14-12+,17-15+,18-16+/t27-,28+,29-,30+,31+,32+,33+,34-,35+,36+,37-,38-,40+,41-,42+,43+,44-,46-,47+/m0/s1/f/h59H |
Apparence | poudre jaune |
Propriétés chimiques | |
Formule | C47H75NO17 [Isomères] |
Masse molaire[1] | 926,094 9 ± 0,048 2 g/mol C 60,96 %, H 8,16 %, N 1,51 %, O 29,37 %, |
Propriétés physiques | |
T° fusion | 160 °C |
Solubilité | 360 mg·L-1 eau à 24 °C |
Précautions | |
Directive 67/548/EEC | |
Phrases S : S22 : Ne pas respirer les poussières. S24/25 : Éviter le contact avec la peau et les yeux. Phrases S : 22, 24/25, | |
Écotoxicologie | |
DL50 | 8 000 mg·kg-1 souris oral 3 mg·kg-1 souris i.v. 120 mg·kg-1 souris s.c. 4,4 mg·kg-1 souris i.p. |
Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
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Nystatine | |
Informations générales | |
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Princeps |
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Classe | Antimycosique |
Identification | |
No CAS | 1400-61-9 |
No ECHA | 100.014.317 |
Code ATC | D01AA01, A07AA02 et G01AA01 |
DrugBank | 00646 |
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La nystatine est un médicament polyène antimycosique dont la structure est très proche de l'Amphotéricine B. La nystatine est utilisée par voie orale pour la décontamination intestinale des candidoses[2].
Spécialités existantes en France
Auricularum (voie auriculaire)
Mycostatine (Voie orale)
Polygynax, Tergynan (Voie vaginale)
Utilisations
Des infections à Candida cutanées, vaginales, des muqueuses et de l'œsophage peuvent être traitées par la nystatine. Les Cryptococcus (en) sont également sensibles à la nystatine.
La nystatine est souvent utilisée en prophylaxie chez des patients à haut risque pour des mycoses, telles les patients sidéens à faible taux de CD4+ ainsi que les patients sous chimiothérapie.
Elle est prescrite en unités, à des doses variant de 100 000 (pour des infections orales) à 1 million (pour des infections intestinales).
Découverte
La nystatine est découverte en 1950 par Rachel Fuller Brown et Elizabeth Lee Hazen[3].
Divers
La nystatine fait partie de la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en )[4].
Liens externes
- Compendium suisse des médicaments : spécialités contenant Nystatine
Notes et références
- ↑ Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
- ↑ Bianchi, Vincent., Médicaments, De Boeck supérieur, dl 2018 (ISBN 978-2-8073-0641-7 et 2-8073-0641-1, OCLC 1028732375, lire en ligne)
- ↑ (en) Ana Victoria Espinel-Ingroff, Medical Mycology in the United States a Historical Analysis (1894-1996), Dordrecht, Springer Netherlands, , 221 p. (ISBN 978-94-017-0311-6, lire en ligne), p. 62
- ↑ WHO Model List of Essential Medicines, 18th list, avril 2013
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