La Machine à tuer les méchants

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La Machine à tuer les méchants

Données clés
Titre original La macchina ammazzacattivi
Réalisation Roberto Rossellini
Scénario Sergio Amidei
Giancarlo Vigorelli
Franco Brusati
Liana Ferri
Roberto Rossellini
Giuseppe Marotta
Eduardo Marotta
Acteurs principaux

Gennaro Pisano
Marilyn Buferd
William Tubbs

Sociétés de production Tevere Film
Universalia Film
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie, fantastique
Durée 80 minutes
Sortie 1952

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

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La Machine à tuer les méchants (titre original La macchina ammazzacattivi) est un film italien réalisé par Roberto Rossellini, sorti en 1952.

Synopsis

Dans une petite ville de la Côte amalfitaine, le photographe Celestino rencontre un personnage qui se fait passer pour un Saint et qui dote son appareil photo d'un pouvoir magique, celui de tuer. Celestino l'utilise pour faire disparaître les villageois qui se montrent méchants, hypocrites, viles. Finalement, il rend compte de l'arbitraire dangereux de ses actions et revient à la Raison, s'apercevant par ailleurs que le saint était en réalité un diable.

Fiche technique

  • Titre : La Machine à tuer les méchants
  • Titre original : La macchina ammazzacattivi
  • Réalisation : Roberto Rossellini
  • Scénario : Sergio Amidei, Giancarlo Vigorelli (it), Franco Brusati, Liana Ferri, Roberto Rossellini, Eduardo Marotta et Giuseppe Marotta
  • Production : Salvo D'Angelo
  • Musique : Renzo Rossellini
  • Format : Noir et blanc et Couleur (Technicolor) — 35 mm1,66:1 — Son : Mono
  • Genre : Comédie, Film de fantasy
  • Durée : 80 minutes
  • Date de sortie : 1952

Distribution

Analyse

Le film est clairement une fable morale inspirée de la Commedia dell'Arte, et pourtant Rossellini s'inscrit toujours dans sa démarche réaliste. Enrique Seknadje écrit à ce propos : "Est assez surprenante et heureuse la manière dont l’artifice – revendiqué et constitué – est lié au naturel et à la réalité que la caméra cherche à capter, et réussit à saisir parfois comme sur le vif. Dans l’organisation de la mise en scène, dans le filmage, on sent la touche néo-réaliste rossellinienne, celle d’un Paisà (1945), d’un Stromboli (1949)… Des décors réels, des événements filmés dans des conditions qui sont quasiment celles de la réalisation d’un documentaire, des personnages incarnés par des acteurs non professionnels…" [1]

Références

  1. Enrique Seknadje, « Roberto Rossellini - "La Machine à tuer les méchants" (1952) », sur Culturopoing,

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMovie
    • Allociné
    • British Film Institute
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • Ciné-Ressources
    • Filmweb.pl
    • IMDb
    • LUMIERE
    • OFDb
    • The Movie Database
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