Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société

Demande de fusion décidée lors d'un débat d'admissibilité entre Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société et Mouvement antinucléaire.

La décision du débat d'admissibilité est indiquée dans section de Wikipédia:Fusion technique. Il s'agit d'une fusion technique et non d'un vote pour ou contre la fusion.

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1.

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{{Fusion technique|Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société|Mouvement antinucléaire}}
2.

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== [[Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société]] et [[Mouvement antinucléaire]] ==
Demande de fusion décidée lors d'un débat d'admissibilité [[Discussion:Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société/Admissibilité|(Voir la décision)]].
Ceci n'est pas une demande de vote pour ou contre la fusion (la décision a déjà été prise lors du débat d'admissibilité) mais uniquement une demande pour qu'un tiers effectue la fusion. ~~~~

Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société
CARLOS
Idéologie Anarchisme
Objectifs Lutte contre le nucléaire
Statut inactif
Fondation
Date de formation 19 novembre 1977
Pays d'origine Drapeau de la France France
Fondé par Plusieurs groupes d'extrême gauche
Actions
Mode opératoire Incendies, bombes, destructions
Nombres d'attaques imputées 23
Victimes (morts, blessés) Aucune
Zone d'opération France
Période d'activité 19 novembre 1977
Organisation
Groupe relié Napap, Gauche prolétarienne, Camarades
modifier Consultez la documentation du modèle

La Coordination autonome des révoltés en lutte ouverte contre la société est une coordination occasionnelle de plusieurs groupes autonomes[1] qui, dans la nuit du « la nuit bleue antinucléaire », s'en sont pris à différentes infrastructures en lien avec l'énergie nucléaire.

Histoire

Les Noyaux armés pour l'autonomie populaire, la Gauche prolétarienne et Camarades s'associent à des militants du mouvement autonome pour former cette coordination d'un soir qui ne regroupe cependant pas toutes les organisations actives d'extrême gauche de l'époque[2].

Carlos envoie un communiqué [3] à Libération publié le 22 novembre dans lequel il déclare, entre autres, que combattre le nucléaire signifie « remettre en cause radicalement le capitalisme ». Les syndicats CFDT d'EDF-GDF et des chercheurs du centre atomique de Toulouse condamnent ces attaques[4]. En revanche, le CANT (Comité antinucléaire de Toulouse) trouve normal « qu’une partie du mouvement choisisse une forme plus spectaculaire de légitime défense »[5].

Actions

Liste non exhaustive des 23 actions[1] :

  • à Paris : siège d’EDF et société allemande de produits chimiques ;
  • à Alfortville : une entreprise travaillant pour la défense nationale ;
  • à Saint-Denis : un garage EDF ;
  • à Lyon : une usine de peinture, sous-traitante de l’industrie nucléaire et des garages EDF ;
  • dans l’Ain près de Saint-Jean-de-Niost, un pylône EDF[6] ;
  • à Richemont : centrale thermique ;
  • à Bordeaux : usine Creusot-Loire et bâtiment d'EDF ;
  • à Toulouse : usine Creusot-Loire, centre informatique d'EDF et centre de recherches du CEA ;
  • à Carcassonne : bâtiment d'EDF et usine de la CGE ;
  • à Narbonne : centre EDF ;
  • à Lodève : ancienne mine d’uranium.

Notes et références

  1. a et b « Insurrection - Base de données anarchistes », sur non-fides.fr (consulté le ).
  2. « A-Infos (fr) Retour sur les annees de braise (2) », sur ainfos.ca (consulté le ).
  3. Texte du communiqué
  4. La Dépêche 22-25.11.1977.
  5. La Dépêche du 03.12.1977.
  6. « Explosions contre des pylônes et des bâtiments de l'E.D.F. », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

Lien externe

  • Actions contre des structures EDF (19 novembre 1977) Communiqué de CARLOS.
v · m
Organisations terroristes et de guérilla des années 1970 et 1980
Allemagne de l'Ouest
Extrême gauche
Organisations étrangères
  • Front révolutionnaire de libération du peuple
  • Organisation 17-Septembre Sabra et Chatila
Amérique du Sud
Extrême gauche
Extrême droite
  • Escadrons de la mort
  • Comando Caza Tupamaros
  • Juventud Uruguaya de Pie
Affaires
Argentine
Extrême gauche
Extrême droite
Affaires
Asie
Extrême gauche
Indépendantistes
Brésil
Extrême gauche
Affaires
Belgique
Extrême gauche
Organisations étrangères
Affaires
Canada
Extrême gauche
  • Wimmin’s Fire Brigade
Indépendantistes
Organisations étrangères
Affaires
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Extrême gauche
Extrême droite
Indépendantistes
Affaires
États-Unis
Extrême gauche
Organisations étrangères
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Extrême gauche
Extrême droite
Indépendantistes
Organisations étrangères
Grèce
Extrême gauche
Italie
Extrême gauche
Extrême droite
Organisations étrangères
  • Front Révolutionnaire de Libération du Peuple
Affaires
Portugal
Extrême gauche
  • Force populaire du 25-Avril
Extrême droite
  • Commando de défense de la civilisation occidentale
  • Aginter Press
Organisations étrangères
Royaume-Uni
Extrême gauche
Extrême droite anti-indépendantiste
Indépendantistes républicains socialistes
Turquie
Extrême gauche
  • Armée populaire de libération de la Turquie
  • Parti-Front populaire de libération de la Turquie
  • Parti des travailleurs du Kurdistan
  • Devrimci Sol
  • Union des Communistes Révolutionnaires de Turquie
  • Parti-Front Populaire de Libération de la Turquie/Avant-garde Révolutionnaire du Peuple
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